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Gwendydd Durand

« J’ai toujours été inspirée par les vulgarisateurs à la télé »

Équitation, culture japonaise et vulgarisation : des influences diverses pour Gwendydd Durand, future médiatrice scientifique ! Après avoir grandi en Lozère puis en Lorraine, c’est à Bordeaux que Gwendydd a déposé ses valises pour finir ses études. L’étudiante au prénom breton — il signifie « blanche journée » — passe sa jeunesse entourée des chevaux que ses parents élèvent « Ma famille me promenait déjà à cheval alors que je ne savais même pas marcher » précise-t-elle. À Bordeaux, loin de sa première passion, c’est dans l’univers japonais des mangas qu’elle se réfugie ainsi que dans l’écriture qui lui permet de se vider la tête.

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Un véritable couteau-suisse

 

Après une licence en physique-chimie la jeune femme fait un service civique chez Les Petits Débrouillards qui renforce son envie de vulgariser les sciences. Ce qui lui plaît, c’est justement de rendre ces sciences accessibles au plus grand nombre, de faciliter leur compréhension alors qu’elles peuvent parfois être compliquées à appréhender. Pendant son stage de première année de master, Gwendydd réalise pour la délégation Aquitaine du CNRS un jeu de l’oie scientifique. Cette expérience lui permet de découvrir des aspects très variés du métier de médiateur scientifique. C’est avec cet exemple en tête que l’apprentie médiatrice imagine son futur professionnel : « J’aimerais toucher à tout, un peu comme dans mon stage, faire de la communication, de la rédaction et aussi créer ! » L’événementiel est un domaine qui l’intéresse particulièrement « même si préparer un événement est quelque chose de très stressant, quand on arrive au bout et qu’on en voit le résultat c’est extrêmement gratifiant et on se sent fier ! »

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« Si j’étais une exploratrice, je partirais en Egypte pour participer à des fouilles archéologiques »

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Maxime DOS SANTOS

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