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Thibault Lecrique

« Je voudrais essayer de dépoussiérer les lieux de culture scientifique. »  

Après un Bac S, deux années de PACES, et une licence de biologie à Toulouse, Thibault se questionne sur ses aspirations professionnelles. Après un master 1 en écologie, il travaille pendant dix mois à la DDT du Tarn. Son goût pour les muséums d’histoire naturelle s’affirme, et l’idée d’évoluer au sein de collections naturalistes le séduit. Il décide donc de rejoindre le master Médiation des sciences à Bordeaux, liant ainsi ses affinités culturelles à ses ambitions professionnelles. Pour Thibault, la médiation permet de briser les idées reçues sur les muséums et de « dépoussiérer les lieux de culture scientifique ».

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Joueur et collectionneur

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Bercé par les jeux vidéo, dont il parle avec fougue et enthousiasme, Thibault se remémore volontiers sa Game Boy Color reçue au Noël de ses six ans, les jeux de rôles qu’il pratiquaient au collège, les titres qui lui ont permis de développer sa culture vidéo-ludique. Cependant, remarque-t-il, « il est plus difficile de créer un bon jeu de médiation qu’un bon jeu tout court, car il y a un équilibre difficile à trouver entre ludisme pur et connaissance apportée ». Sa passion pour les jeux vidéo rejoint son affection pour la médiation : à l’avenir, il souhaite créer du sens et des histoires avec les collections d’un muséum afin que tout le monde puisse profiter de cette « nouvelle culture ».

 

"Si j’étais un explorateur, j’irais en Amazonie pour suivre une expédition botanique !"

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Margaux Herschel

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