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Léa fait la connaissance de l’histoire des sciences avec Pascal Duris, professeur d’épistémologie à l’Université de Bordeaux, à la fin de sa licence de biologie-santé. Cette rencontre sera un tournant dans ses études. Pourtant, ce n’est que dans la continuité de sa passion : en effet elle a toujours portée un vif intérêt pour la littérature. Ça a d'ailleurs toujours été un manque dans sa licence.

Bulle d’air entre matières scientifiques et littéraires

Lorsqu’elle suit les cours d’épistémologie en option à la fac, elle rédige un pré-mémoire qui retrace la vie d’un médecin dans une colonie au XIXe siècle. Et elle se passionne réellement quant à la réflexion sur le fond et la forme. "C’est intéressant de comprendre et de se plonger dans l’époque : retrouver la signification des termes, comprendre les théories de l'époque et les relier à celles actuelles." En outre, elle retrouve les notions de biologie qu’elle a vu pendant sa licence, c’est même complémentaire à ses études, puisqu’elle peut voir le cheminement des pensées et l’évolution des connaissances.

Vers le chemin professionnel

Le monde de la recherche épistémologique entre mystère et archives l'attirait réellement. Elle choisit cependant de se tourner vers la voie professionnelle du master Médiation des sciences, trouvant qu'elle n'avait pas forcément beaucoup d'interactions en recherche. En effet, le contact avec les publics lui manquait. C’est d’ailleurs vers la muséologie qu’elle voudrait s’orienter : concevoir des expositions, rencontrer les publics, animer. Pour elle, aujourd’hui, l’épistémologie est un loisir. Son métier, c’est plutôt la médiation des sciences.

Jeyameera Nadarasa

LEA PEILLON-COMBY

Celle qui voulait faire de la recherche épistémologique

 

 

Léa, étudiante en Master 2 Médiations des sciences nous parle de son parcours et de ses projets.

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