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Ses cheveux blonds, son regard bleu et sa galette-saucisse sous le coude, Lucie se met à nue. Polonaise d’origine, tourquennoise de naissance et bretonne de cœur, elle continue sa route vers Bordeaux sur son vélo. Pourtant, elle a horreur du sport.

Mordue de théâtre, Lucie est elle-même un personnage. Elevée par des parents passionnés par l’art, elle est curieuse, c’est une touche-à-tout adepte de l’auto-dérision « Je dessine. Mal. Je peins. Mal. Je photographie. Mal. ». Auteure d’une chanson à texte sur l’herpès, elle aime écrire. Son goût pour les textes de Boris Vian y est sûrement pour quelque chose. La créativité de Lucie n’est jamais en berne et elle s’en sert à merveille pour parler de sciences dans la chronique radio « ineptscience ».

Apprendre via les musées

Sitôt son bac scientifique en poche, elle entame une licence de biologie pour « comprendre la vie ». Elle se rend compte que c’est bien plus agréable de la comprendre en visitant les musées, sa passion première. Un musée sur les palourdes ou sur le patin à roulettes, la curieuse Lucie répond présente. Pourtant fâchée avec le cadre scolaire, elle développe un intérêt certain pour la médiation des sciences, sur les bancs universitaires. C’est donc tout naturellement qu’elle intègre le master médiation des sciences.

En première année de master, elle effectue son stage à la Maison de la mer de Lorient : un parfait compromis entre la Bretagne et les musées. Mais Lucie n’y trouve pas son compte, sa créativité est muselée. Concevoir et animer des expositions, c’est ça son truc. Passionnée par les végétaux, elle confie rêver de travailler dans un jardin botanique, voire même d’en créer un à Rennes.

Au fait, dans le désordre, Lucie adore Star Wars. Un croisement entre sciences et imagination, coïncidence…

Sophie Warnet

LUCIE WRONKA

Pour des sciences indisciplinées

Inventive et contestataire, l'étudiante à l'humour décapant raconte son goût pour les arts, la biologie et la médiation.

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