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MARION LAVENIR

Des expos plein la tête

 

 

Marion prépare son diplôme de médiation scientifique à l'Université Bordeaux Montaigne, en vue de pouvoir réaliser un jour ses propres expositions où se mêlent tous les disciplines.

Le bac en poche, Marion souhaite devenir psychomotricienne. Ce qu'elle apprécie dans ce métier est la proximité avec les patients et le fait de pouvoir leur apporter une meilleure connaissance de leur corps. Elle se prépare au concours en suivant la licence de sciences cognitives qui lui permet de découvrir un nouveau domaine très en lien avec les gens. Finalement c'est en licence puis en première année de master de sciences cognitives que Marion s'oriente. Son premier stage en laboratoire lui renvoie toutes les problématiques de financements, qui altèrent les travaux de recherche. Comment alors communiquer un savoir scientifique et échanger avec des publics ? Marion se dirige naturellement vers le Master de Médiation des sciences à Bordeaux.

 

Une bonne exposition : participative, humoristique et sensorielle !


Dans le médiation scientifique, ce sont surtout les expositions qui lui plaisent. Un support dans lequel elle se retrouve car on peut être libre de faire une exposition avec un budget monumental, comme avec un petit budget. C'est tout un univers qu'il est possible de créer dans un espace nu et d'y ajouter un peu de soi. Ce qu'elle apprécie est l'image triste que l'on associe aux expositions dans l'inconscient collectif en revoyant les musées d'histoire naturelle avec leur rayonnage d'animaux naturalisés. Pourtant il existe une multitude de supports possibles. De plus, on peut rencontrer et travailler avec différents profils de métier. Pour Marion une exposition réussie c'est lorsque le retour du public est positif. Il est dans l'intérêt du médiateur de mélanger les différents disciplines et d'utiliser des supports ludiques dans les bonnes circonstances. Si elle devait monter une exposition, elle choisirait : langage. Parce qu'il y a une multitude de portes d'entrées et une grande quantité de média peuvent être utilisés, sans pour autant rendre l'exposition compliqué à suivre et à comprendre.

Loïc Lagorce

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