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Marilou Bourdreux

Embarquer sur le vaisseau de la

médiation scientifique

«J'ai envie de discuter des sciences en touchant à tout.»

Après avoir grandi dans la Nièvre, Marilou décide de mettre les voiles vers de nouveaux horizons, direction le Finistère. Elle obtient à Brest sa licence en biologie et se découvre une relation passionnée avec le domaine marin. Ses premières années d’études supérieures révèlent à Marilou une recherche en laboratoire « trop enfermée et peu diversifiée ». Elle aime le contact avec les gens. La jeune femme dynamique souhaite alors explorer les sciences sous un autre angle. Elle se forme à la médiation et au journalisme grâce à différentes expériences brestoises. Intégrer le master de médiation des sciences à Bordeaux était une solution intéressante pour elle. Pourquoi ? Elle explique que cette formation permet de « combiner ces différentes approches des sciences en plus de tester des méthodes nouvelles et inconnues ».

 

Prendre le large pour affirmer ses envies

 

        Marilou a pu profiter de son stage de 1ère année de master pour explorer la communication scientifique. Elle a ainsi réalisé différentes missions au sein de l’Unité Mixte Internationale Takuvik à Québec. Cette expérience lui confirme son envie de garder le cap sur la communication des sciences. Elle aimerait même poursuivre dans cette voie en intégrant des organisations qui lient la recherche avec l’environnement marin et océanique. L’étudiante toujours souriante, ne se voit cependant pas s’enfermer dans une seule pratique, et espère travailler dans une petite structure pour « faire de la rédaction, de la médiation, de la communication, ... enfin toucher à tout » en affirmant que c’est important pour sa motivation. Marilou adorerait participer à une expédition permettant de mieux comprendre le milieu marin afin de le préserver. Elle aimerait faire partie d’un vrai projet humain qui amène des professionnels d’horizons variés à travailler ensemble. Cela lui permettrait d’enrichir ses expériences dans le domaine de la médiation scientifique. On ne peut que lui souhaiter d’avoir bon vent.

Thomas Boniface

Si j'étais une machine...

Je serais un robot bivalvoïde filtreur de microplastiques.

Cette technologie fictive pourrait très bien correspondre à la future vie professionnelle de Marilou. Il s’agirait en effet d’une machine innovante engagée pour la protection de l’environnement marin.

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