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Maxence Nicolay

Quand médiation rime avec passion

« J’aime partager mes découvertes et par-dessus-tout, éveiller les autres à la curiosité ! »

Elevé aux dessins animés éducatifs et aux magazines destinés aux scientifiques en herbe, Maxence est tombé dès son plus jeune âge dans la marmite de potion magique ! Au moment de choisir son orientation, pas de doutes, ce sera une licence de biologie, pour observer et comprendre son environnement. D’abord à Reims, puis à Rennes, après une année en master d’éthologie afin d’étudier le comportement animal et un service civique, Maxence pose enfin ses valises à Bordeaux, bien décidé à se faire une place dans le monde de la médiation scientifique. Son service civique, réalisé à la Ligue pour la Protection des Oiseaux, a confirmé son désir de transmettre son goût de la connaissance. En charge de faire découvrir au grand public la biodiversité à travers les âges par le prisme de ce qu’il décrit comme le folklore et des anecdotes, il s’est révélé passionné par ce qu’il a découvert. Son truc, c’est d’accrocher son public en l’amenant à s’intéresser au monde qui l’entoure. À travers l’organisation d’événements majeurs, il a également pu appréhender toutes les faces cachées du métier et devenir un véritable couteau-suisse.

Un personnage haut en couleurs

 

        Il reste toutefois conscient des difficultés du métier et se retrouve parfois moins à l’aise qu’il ne le voudrait avec des enfants, dont l’intérêt est difficile à capter. Un comble pour ce grand joueur invétéré ! À ses heures perdues, Maxence se métamorphose en toutes sortes de personnages et s’adonne aux jeux de rôles grandeur nature inspirés de l’univers historique ou fantastique. Ce qu’il aime, c’est rentrer dans la peau d’un autre, à travers le costume, l’attitude, le discours et écrire l’histoire à plusieurs, parfois à 30 ou 40 personnes ! Le métier idéal pour lui, serait de réussir à concilier passion des jeux et amour des sciences car il en est persuadé, c’est en s’amusant qu’on apprend plus facilement. Quoi de plus ludique, qu’une expérience scientifique ?

Lise Molimard

Si j'étais une machine...

Je serais une machine à écrire !

D’abord parce qu’il trouve que c’est un bel objet. Et ensuite pour sa fonction qui est directement liée à ses centres d’intérêts : cette machine permet de « produire quelque chose sorti de l’imaginaire ». Un moyen supplémentaire de s’échapper vers d’autres horizons….

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